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Ma Journée, suite...
--> "L' amour en boule comme une pomme qui sèche Parce qu'on l'a mordue d'un seul coup Le poing fermé qui garde sous l'eau fraîche Un cœur petit comme un caillou"
ce matin, même heure, même endroit qu'hier...
cette fois, Il y a un nouveau bébé que garde Amandine : Baptiste...
Sylvaine descend en peignoir (blanc) avec Pierre dans les bras, puis remonte, puis redescend en jean, veste et lunettes, puis remonte, puis reredescend et cette fois c'est la bonne, on embarque dans la voiture, et oh, surprise, la pelouse sur le pare-brise qui est toujours là et qu'on avait oubliée... Premier fou-rire donc...
Trajet Epône-Paris avec William Sheller à fond, Sylvainette en a des frissons (c'est qu'elle est sensible ma Sylvaine, hein).
Arrivée chez Voici, j'me planque dans le bureau de Sylvaine et Marie-Ange ose pas rentrer pour la réunion parce qu'il y a une jeune fille dedans... non mais c'est qui cette intruse, hein, c'est qui ? c'est qui ? ben c'est moi ! haha !
je comprends qu'je la gêne donc je m'éclipse chez jeanette....
...qui est en formation...
j'reste un peu (une bonne grosse heure), c'est chouper intéressant, et puis au moment où Jeanne ne tient plus et a besoin de son café, je repars direction la Fab où j'aperçois Valérie, dans une joulie tunique Blanche, toute belle pour ses 38 ans... Je lui chuchote un très joyeux très bon anniversaire et finit par m'installer à côté d'elle.
Elle est encore un peu énervée parce que Dom' ne fout rien mais bon, faut pas qu'elle s'en fasse trop car aujourd'hui c'est SA journée... Armelle revient de son escapade aux magazines télé et puis repart. J'reste donc avec Valérie juste qu'à 12h30 quand tout à coup, la porte du "passage secret" s'ouvre et en ressort Sylvaine, attendue par 3 messieurs en bas, qu'elle a l'air ravie de voir (là il y a encore ironie...)... Elle nous aide à choisir un resto (bah oui, Sylvaine, elle se réjouit du bonheur des autres parce que ele, elle va pas manger avec nous tous, ben non, elle va devoir manger avec les zozos d'en bas...). On choisit donc un resto tout près et on y va à 6 : Valérie, Jojo, Armelle, Pierre, Claudine et moi. On descend quand même avec Sylvaine pour l'encourager jusqu'au bout quoi, et puis on y va... On est là bas à 13h15. "chez Clément". On s'installe donc. Moi entre valérie et claudine, Armelle entre Pierre et Jojo. Et puis on commence à discuter. Là, on mange mieux qu'à la cantoche. Chaque menu arrive dans un ptit cageot en osier, il y a des ptits raviolis chinois, du riz cantonnais (j'pensais plus jamais pouvoir en manger mais l'air de Prisma Presse me change décidément bien les idées), du je-ne-sais-pas-trop-quoi-mais-très-bon au caramel, et puis une brochette de fruits (ananas, mangue, banane), une boule de coco, et des nougats au césame... Mima miam ! Valérie, elle, prend une "petite entrée" et un "gros dessert" : "c'est mon anniversaire, je fais c'que je veux !!". On parle du mariage de Pierre, des cours, des téléphones portables, des enfants de Valérie et de Claudine, etc. On ne rentre qu'à 14h30 (les flemmaaaaaaaaards...) mais bon, c'est un peu jour de fête... À l'accueil, on dirait que Sylvaine et les zozos n'ont pas bougé. (ça fait un peu Blanche-Neige et les 3 nains parce que Sylvaine, elle est tellement grande qu'elle fait bien une tête de plus que les plus grands et puis elle en jette quoi...).Ils sont à l'endroit même où on les a quittés... On remonte avec eux. Sylvaine me propose d'aller de balader dans le quartier (Fnac des ternes et compagnie) mais une main m'attrape par le col : armelle qui me demande de "veniiiir au serviiice photoooo avec moiii j'veux pas y aller toutttte seullllle..", alors je compatis, j'ai juste le temps de chuchoter un "bon courage" plein de compréhension au creux de l'oreille de Sylvaine (sur la pointe des pieds ; ) avant d'être enfumée par la fille du service photo. Bon d'accord elle a des beaux yeux, mais elle fume trop. Sorties de là, Armelle traque les beaux maquettistes... Elle me demande mon avis me posant donc une colle parce que moi j'préfère les gens de la Fab', ils s'y croient pas, et puis en plus je préfère, enfin... bon, voilà quoi.. On retourne à la fab'. Sylvaine en a pour au moins deux heures de réunion. J'la plains, je l'entends parler, entourée de tous ces mecs un peu lourds... beuh beuh beuh... la pauvre. Vers 16h15, Armelle et moi, on sort pour aller acheter une carte à Valérie, et par la même occasion j'en achète une à Sylvaine qui m'fait penser à la chanson du "coeur petit comme un caillou". En revenant, à 17h, on offre la carte à Valérie et puis Armelle va voir un peu ses "potes de la rédac'" pendant que moi j'écri un poème, bercée par la poésie qui règne dans le grand bureau (hum hum). J'reste là une bonne heue, perdue dans mes pensées, comme d'hab. J'suis loin loin loin... Enfin pas si loin, mais bon. Après, Armelle m'entraîne au Secrétariat de Rédaction et là je revois Juliette qui m'avait présenté le service pendant mon stage. En repartant on croise Sylvaine (qui a donc fini !!!) dans son jean et ses talons hauts alors qu'elle est djà tellement grande, et puis jeanne nous happe ;) dans son bureau. Là on discute avenir avant que Jojo ne réclame sa nièce. je repars donc avec Armelle, suivie de jeanne. armelle s'en va, Valérie vient me dire aurevoir, elle em donne son portable et me demande de venir chez elle passer un week-end à St Germain... Quelques instants plus tard, Sylvaine revient donc je redéménage dans son bureau et puis vers 19h45, nous quittons Prisma. Pierre essaye désespérément de coincer son saumon pour sa "soirée saumon" sur le porte-bagage inexistant de son 2 roues. Il nous fait un dernier clin d'oeil en apercevant la pelouse sur le tableau de bord et puis c'est reparti, direction Epône. On espère tous les feux rouges, tous les embouteillages pour écouter plus longtemps la musique. le trajet est silencieux de nos voix même si je pense tellement fort que j'ai l'impression de ne pas arrêter de parler... J'suis un peu tristouillette de la quitter déjà. On arrive chez elle, on rentre un peu, elle remmène Pierre et son siège auto dans la voiture pour raccompagner Amandine. Et elle me dit aurevoir. À peine 4 secondes après qu'elle ait claqué la portière, elle me manque déjà. J'ai l'impression qu'elle est juste un grand rêve de presque 1 m 80.

Ah là là, c'est terrible cette manie que j'ai de m'attacher aux gens...
Ecrit par rafaelle-, le Vendredi 22 Avril 2005, 23:21 dans la rubrique Quand le soleil se lève....